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N'omettez pas la "brève du jour" consacrée avec un peu de retard à Laurent Fignon qui a rejoint le paradis des Cadors de la route. En ce moment, je suis sûr qu'il nous mate en rigolant, tout en piccolant avec maître Jacques qui a du lui réserver un pur malt.
On va faire "comme il aimerait". Les billets à venir seront consacrés à la bonne bouffe, aux bons vins, et aux moments conviviaux.Nous ne nous confirons pas dans la désespérance plus ou moins hypocrite, ni dans la rétrospective de sa carrière et de ses diverses activités: ils sont innombrables, qui le font.
Ciao, Fignon! Pédale entre les nuages, fous-toi dans la bonne bordure contre les vents contraires et ne casse pas trop les burnes des Grands qui ne couraient pas comme toi et que tu as rejoint au paradis de la petite Reine: il y avait d'autres manières de faire que la tienne, et tu avais du mal à en convenir. Tu étais parfois chiant au possible dans tes commentaires... Mais la différence avec bien d'autres, c'est que toi tu pouvais te le permettre, ayant prouvé ton savoir-faire.
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