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Regardez ce type à droite, beau Suisse bien conservé aux tempes argentées qui ajoutent sans doute à son charme (il faut demander leur avis aux dames), parti faire un "treek" au Népal. Rien à porter, sauf deux bâtons de randonnée qui rendent la marche encore plus aisée. Ses bagages, c'est le gamin au premier plan qui se les coltine.
Et le Môssieur en a rajouté dans le cynisme, à son retour, en témoignant de son indignation, devant le travail imposé à ces pauvres enfants. Mais après, une frois le voyage accompli. Pour se donner une bonne conscience militante et se faire un coup de pub (mal joué: innombrables furent les témoignages outrés, lui signalant que la plus élémentaire dignité lui aurait commandé de renoncer à sa randonnée. Ou du moins, de la fermer après).
Il y a véritablement des génitoires qui mériteraient d'être coupées. Avec des instruments rouillés, et sans anesthésie.
C'est dans le même ordre d'idée que quand Kevin Carter accepta le pix Pulitzer pour cette photo...
benjamin.
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