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Quand je revois cette photo de Merkel, je me dis que la psychanalyse explique sans nul doute la veulerie avec laquelle Sarkozy se plie aux désirs de celle qu’il appelait ironiquement ‘la grosse banquière’ au début de son mandat.
Il nous l’a tant fait sarkozette en réécrivant son histoire (à Neuilly sur Seine quand même, pas à Montfermeil près des Thénardier), celle d’un petit garçon triste et apeuré, rudoyé par son grand frère, qui attendait sa maman le soir dans le lit de cette dernière pour capter un calin furtif avant qu’elle ne le porte dans sa propre chambre…
Comment résiste-t-il à ces gros tétons, comment pourrait-il, avec ce traumatisme infantile, ne pas rêver de poser sa petite tête entre ces deux gros seins* qu’on devine palpitants, chauds et protecteurs? Rassurants, quoi!
Comment mécontenter une Angela susceptible d’apporter un tel substitut à des carences qui remontent à la petite enfance?
A côté de cette poitrine, que pèsent la finance mondiale, le statut de l’euro, l’économie française? C’est perdu d’avance!
benjamin borghésio
* C'est pas de la prothèse PIP!
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