Les poils pubiens, ça va et ça vient
Et si nous devenions tous grecs?
Le premier meeting de Joly, à Roubaix.
Mosey, l'Ukraine, le Brésil, et toute cette sorte de choses.
Encore un handicap pour François Hollande...
Les poils pubiens, ça va et ça vient.
Lien sur l'article complet. C'est beau, la science!
/... Afin d'obtenir une réponse à cette question cardinale, ces chercheurs ont donc mis sur pied une des expériences les plus croustillantes de l'histoire de la science improbable. Six employés d'un laboratoire de police scientifique et leurs conjoints se sont soumis à un protocole de recherche draconien destiné à vérifier, après l'acte d'amour, à qui appartenaient les poils pubiens tombés au champ d'honneur en les comparant à des échantillons fournis par chaque participant.
Sur les six couples, cinq ont oeuvré dix fois pour la recherche tandis que le dernier n'a accompli son devoir scientifique qu'à cinq reprises. Après tout rapport sexuel, chaque protagoniste devait s'asseoir sur une serviette pendant que son ou sa partenaire lui passait littéralement le pubis au peigne fin. Puis, la serviette et son contenu ainsi que le peigne étaient scellés dans une enveloppe à laquelle était joint un questionnaire romantique précisant la durée des galipettes, la ou les positions employées, le nombre d'heures écoulées depuis les derniers rapports et la dernière douche.
Une fois le paquet déballé au laboratoire, chaque élément recueilli était scruté au microscope pour savoir s'il y avait eu échange pileux. Sur les 110 peignages réalisés, des centaines de poils ont été récupérés dont quelques intrus sur lesquels on ne fera aucun commentaire, comme des cheveux ou un poil d'animal... Un ou plusieurs transferts ont été détectés dans 17 % des cas et les chercheurs ont noté un net déséquilibre entre les sexes : ces dames étaient plus généreuses, donnant deux fois plus souvent que ces messieurs. Information importante car, même si la fréquence des transferts est faible, les auteurs de viols pourraient sans le savoir emporter avec eux un ou plusieurs poils de leurs victimes, capables de les incriminer. /...
Prends un peigne, c'est pour la science... Ils précisent également que la participation de leurs douze volontaires aux tests "a été uniquement motivée par le désir altruiste de faire avancer la recherche". Les six derniers mots sont peut-être de trop.
Et si nous devenions tous grecs ?
Ce qui est imposé aujourd’hui à ce pays pressuré et humilié par ses partenaires européens annonce-t-il ce qui sera un jour prescrit à l’Italie, au Portugal et pourquoi pas à la France ? L’Europe soigne la maladie et va tuer le malade. Le sort fait aux Grecs doit concerner tous les autres citoyens européens : sont-ils menacés aussi de ces coupes claires dans les budgets sociaux, de ces baisses de 22% du salaire minimum (soit en France un Smic ramené à 1 000 euros) ? Les vertueux écureuils objectent que la Grèce a longtemps vécu comme une cigale empruntant et dépensant sans compter, maquillant ses chiffres et entretenant une administration pléthorique et corrompue. Tout cela est vrai. Mais la Commission européenne, les marchés, les banques qui ont tant prêté, tous devenus impitoyables, découvrent-ils vraiment cette situation aujourd’hui? Pourquoi n’ont-ils rien fait, ni rien dit alors qu’il était temps ?
Il ne fallait pas remettre en cause les bases de la zone euro dont on mesure aujourd’hui la fragilité lorsqu’une économie marginale (moins de 3% du PIB européen) menace l’ensemble. La forme de l’intervention européenne en est d’autant plus odieuse : Premier ministre convoqué, instauration d’une surveillance humiliante des comptes, mépris ostensible, notamment par l’Allemagne, de la souveraineté d’une nation. Enfin, la plupart des experts ne croient pas aux remèdes européens qui reviennent à contracter une économie déjà en pleine récession et donc in fine à aggraver la situation déjà gravissime de la Grèce. Aujourd’hui, ce sont les citoyens grecs et parmi eux les plus pauvres et les plus précaires qui paient. Combien de temps encore accepteront-ils l’inacceptable. - François Sergent, Libération.
Le premier meeting de Joly, à Roubaix.
Et un traitement pour le moins partial de la presse (article de Libération, un des moins défavorables). Réunir 1.200 personnes à Roubaix par une soirée sibérienne et la concurrence attendue de France-Irlande (même si le match fut annulé au dernier moment), ce n'est pas si mal. Pour ma part ça n'enlève rien à ce que je pense: elle et son parti sont complètement à côté de la plaque; en outre la manière dont les apparatchiks d'EELV - Duflot en tête - l'ont larguée dans les faits est révélatrice des moeurs staliniennes de la secte, au delà des apparences.
Mosey, l'Ukraine, le Brésil, et toute cette sorte de choses.
Certains citoyens français ont de la chance. Quand le pékin moyen qui tombe malade à l'étranger doit compter sur lui même ou sur l'assurance qu'il aura contractée (elles sont d'une efficacité remarquable pour un coût modique... et je ne doute pas qu'un coup de fil élyséen les aurait stimulées... un père a le droit de se soucier de ses enfants), le dénommé Mosey, alias Pierre Sarkozy, victime d'une intoxication alimentaire en Ukraine où il était allé exercer ses talents de disk-Jokey / producteur bénéficie de la sollicitude gouvernementale. Un avion médicalisé affrêté par le gouvernement le rapatrie immédiatement (coût: plus de 30.000 euros; papa en remboursera un peu plus de 8.000).
Moins de quinze jours plus tard (il s'est vite remis sur pied, le bougre), il se prépare à exercer ses talents à São Paulo et une demande officielle de nos autorités diplomatiques sollicite des Brésiliens que les deux officiers de sécurité qui lui sont normalement attachés soient renforcés par des forces locales - demande jugée "choquante" par la diplomatie brésilienne et qui fait scandale dans un pays où, hélas pour eux, les citoyens doivent composer quotidiennement avec le risque ou se protéger à leurs frais quand ils en ont les moyens - et ça coûte cher.
On dira : tant mieux pour lui et tant pis pour le contribuable français ou brésilien.
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Encore un handicap pour François Hollande... Ségolène Royal entre en campagne pour François Hollande à Marseille (Il doit déjà se farcir Michel Sapin...)
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