Qui se réveille peu à peu
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Cette magnifique cité brésilienne séparée de São Luis de Maranhão par un bras de mer (traversée assez mouvementée) est autant connue pour ses vestiges du passé (inscrits au patrimine mondial de l'Unesco) que par le centre spatial brésilien qui en est proche.
Les activités de ce derniers reprennent progressivement, après un terribe accident (une explosion au sol) qui a endeuillé la communauté scientifique et technique brésilienne)
Les activités de ce dernier reprennent progressivement, après un terrible accident (une explosion au sol qui a endeuillé la communauté scientifique et technique brésilienne) et paralysé l'activité spatiale. Tout comme Kourou, Alcântara est favorisée par sa position proche de l'Equateur, qui facilite les mises en orbite avec une force moindre : à capacité équivalente, un lanceur peut placer une charge plus lourde, surtout pour les mises en orbite géostationnaire.
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Les "lanchas", très différentes de celles de l'Amazone, de Manaus à Belém.
A remarquer: la couleur des eaux de l'Océan, encore chargé du limon de l'Amazone pourtant éloignée.
La traversée pour rejoindre Alcântara depuis S. Luis fait gagner beaucoup de temps (la baie imposerait un immense détour par la route) mais les eaux sont souvent agitées.
Lanchas au port
Départ pour relever des casiers à crustacés.
La "grande rue"
Ca monte dur, sous un solei de plomb.
Faites tinter la cloche, et vous aurez "uma namorada" (une petite amie) dans l'année. Pré-adolescents et hommes d'un certain âge se précipitent sur la cloche "magique"
Deux générations de bâtiments. Les plus vieux sont maintenus "en l'état" en attendant une reprise et une restauration.
La place de l'ancien pilori
Il est rare qu'on ne revienne pas à Alcântara...
Benjamin
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