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La ligne de partage des eaux, un des merveilles naturelles du monde.
Ce phénomène naturel est produit par la confluence des eaux noires du fleuve Negro avec les eaux jaunes du Solimões, qui se rejoignent pour former le fleuve Amazone. Sur une étendue de 6 km, les eaux des deux fleuves coulent conjointement sans se mélanger et la symbiose ne sera totale que plus de cent kilomètres en aval. Ce phénomène est causé par les écarts de température et de vitesse.
Le Jardin botanique Adolpho Ducke, situé dans une réserve écologique de 100 km2, revendique le titre de plus grand jardin du monde, avec une un grand nombre d'espèces végétales et animales.
Localisé dans une aire urbaine, au quartier du Parc 10 de Novembro. Il a été créé en 1992 pour être une aire d'intérêt écologique. Il s'étend sur une surface de 330 000 m2 (33 ha) de forêt rémanente de la ville, servant aux activités scientifiques, éducatives, culturelles et touristiques. C'est un des derniers refuges du sauim-de-coleira, espèce de singe qui ne se trouve que dans la région, en voie d'extinction. Le parc dispose d'une bibliothèque avec un centre d'informations sur l'environnement. Il possède un amphithéâtre pour 600 personnes, des plates-bandes cultivées d'herbes ayant des propriétés curatives et aromatiques, des orchidées, des pistes suspendues et signalisation visant au développement de programmes d'éducation environnementale. [source Wikipédia]
Administré par l'armée brésilienne, le parc animalier possède quelque 300 espèces d'animaux de la faune amazonienne tels que les singes, les jaguars, des serpents, des caïmans, des aras, des tapirs etc.
Manaus abrite aussi le Centro de Instrução de Guerra Na Selva (CIGS, Centre d'instruction de la guerre dans la jungle), créé en 1964 par un décret du maréchal Castello Branco. Disposant de zones énormes, le CIGS a été utilisé sous la dictature comme centre d'entraînement à la « guerre contre-révolutionnaire » (y compris les méthodes de torture) : notre "célèbre" Aussaresses y transmit ses talents et la DINA de Pinochet venait s'y former3.
Aujourd'hui, le CIGS participe aussi à des missions environnementales et à la recherche scientifique d emême qu'à l'entraînement au combat dans la jungle (des militaires de diverses grandes puissances y font des stages, et des échanges ont lieu avec le centre de formation de la Légion étrangère basé à Régina (Guyane française)
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